Il a également fondé l'Institut de recherche sur les expériences extraordinaires (Inrees) en 2007 et le magazine Inexploré en 2008, et se consacre désormais à l'écriture.
Cette fois-ci, dans Lorsque j'étais quelqu'un d'autre, il raconte une minutieuse enquête, aussi passionnante que troublante, après une vision qui s'est imposée à lui et l'a mené, à partir de quelques indices, sur les traces d'un inconnu et sa part d'ombre de SS pendant la Seconde guerre mondiale.
Guidé par de nombreux spécialistes (historiens, généalogiste, traducteurs, médiums...), mais aussi par des rencontres inespérées, les coups du hasard et ses intuitions, il retrace le parcours de cet homme, jusqu'en Allemagne et en Russie, et cherche à comprendre son lien avec lui.
Encore une fois, l'auteur nous entraîne dans une aventure aussi réelle (ou surnaturelle) qu'extraordinaire, qu'on adhère ou pas à certaines croyances (le livre peut se lire comme un palpitant thriller), avec beaucoup de questionnements et de réflexions sur l'humanité, le bien, le mal, la vie, la mort... et les liens entre eux.
Et puis ma femme me fit découvrir cette phrase admirable de Romain Gary : "Lorsque vous écrivez un livre, mettons, sur l'horreur de la guerre, vous ne dénoncez pas l'horreur, vous vous en débarrassez."Mama Éditions, 2017, 456 pages, 30 photos.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire