Le titre, qu'il faut lire à haute voix en détachant les syllabes pour mieux comprendre le jeu de mot (j'avoue, je n'ai pas compris tout de suite), est : L'aidant de la mère. En effet, cet épisode ne manque pas de mordant !
Cette fois-ci nos justiciers, la fine équipe qui se retrouve au Bar de la Sidérurgie, s'attaquent à des racketteurs, des prêtres pédophiles, des racistes qui n'hésitent pas à passer à tabac juste pour se défouler, mais aussi des promoteurs sans cœur qui expulsent de braves gens... et j'en oublie peut-être.
Des victimes sans défense — des sans-papiers qui travaillent pour un salaire de misère, une personne âgée qui veut rester chez elle et ne pas aller à l'Ehpad — vont trouver de sérieux appuis.
Donc, comme d'habitude dans les livres de Charles Gobi, et pour notre plus grand plaisir, l'action, la justice, mais aussi l'humour et les jeux de mots sont au rendez-vous.
L'amour aussi, et ce dernier tome me semble d'ailleurs plus pimenté que les autres en scènes érotiques.
À lire et relire, dans le désordre et comme il vous plaira !
Éditions Le Confort numérique, 2024, 238 pages.
Pour acheter les livres, lire des extraits, consulter la liste des librairies qui les vendent, consultez le site de Charles Gobi.
Mais aussi chez "Marseille in the box", 13, rue de la reine Élisabeth 13001 à Marseille.
* Chaque roman peut se lire indépendamment :
- Le Bar de la Sidérurgie
- Les Goudes, c'est de l'anglais...
- Hercules des Trois Ponts
- Chemin des Prud'hommes
- Il est pas con, ce con ?
- La grosse Janine
- Fatche d'eux.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire