Illustration de François Schuiten |
Il éclaire sous des angles différents la biographie de certains personnages clés de cet univers imaginaire et comble ainsi certaines ellipses du long récit des Contrées qui s'étale sur plusieurs générations.
Cela donne à l'ouvrage un côté un peu labyrinthique, mais l'auteur réussit malgré tout à tenir le lecteur en haleine grâce à des péripéties assez imprévisibles.
La langue de Jacques Abeille, quant à elle, est toujours aussi magnifique.
Le Tripode, 2020, 304 pages.
Chronique écrite avec la collaboration de Christophe Grigri.
Voir aussi cette vidéo qui présente Jacques Abeille et son œuvre. Il dit de lui : "Je suis beaucoup plus un peintre raté qu'un écrivain, je me sens de moins en moins écrivain, je n'ai jamais réussi à l'être tout à fait."
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