Nous assistons à la faillite du bonheur lié à l'abondance, au progrès et à la modernité. Face à la crise de la société de consommation et son désastre écologique, un art de vivre joyeux est possible dans la frugalité, la convivialité et les plaisirs de la table. La décroissance n'est pas forcément synonyme d'austérité et de malbouffe.
De Slow Food à la reconquête du temps libre : il s'agit de revenir à l'essentiel, éviter le superflu pour mieux goûter le bonheur d'une nourriture saine et responsable.
Éditions Rivages-Payot, 2020, 208 pages.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire